Depuis son élargissement à l’achat de logements anciens sous condition de travaux, le prêt à taux zéro (PTZ) connaît un succès qui surprend même les professionnels de l’immobilier.
Grâce à des conditions plus avantageuses depuis le 1er janvier, environ 30.000 PTZ ont été distribués de janvier à mai 2016, contre 14.400 à la même période l’an dernier.
Malgré ces résultats prometteurs, le réseau immobilier Orpi estime que si ce dispositif « représente une opportunité pour les acquéreurs dans l’ancien« , en revanche, la « quote-part de travaux devant représenter 25% de l’enveloppe d’acquisition le rend peu efficace et limite le nombre de projets éligibles aux conditions d’attribution« .
C’est également l’avis du spécialiste du crédit Empruntis l’agence et du réseau immobilier Guy Hoquet. « Nous constatons que les primo-accédants prévoient plutôt un montant de 14% en moyenne [pour la réalisation des travaux]« , estime Empruntis.
Selon Guy Hoquet, le coût d’une rénovation ne dépasse pas les 50.000 euros ; seuls des biens d’un montant maximum de 150.000 euros pourraient, alors, donner droit à souscrire à un PTZ.
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